L’attitude d’arrogance, l’orgueil, le dédain et la prétention à détenir la vérité, cela s’appelle « La SUFFISANCE »!

Le contentieux qui oppose les Bayonnais aux Stadistes a pris sa pleine ampleur après cette rencontre à la relevée de ce samedi 18 Février. Annoncer de partout que rien ne pouvait s’opposer à leur triomphe sur le pré de Jean Dauger, qu’ils seraient la première équipe à faire tomber le promu, tenir de tels propos ne pouvaient en effet que maintenir de la malveillance dans un sport ou le respect de l’adversaire est de rigueur. Mais cela c’était avant ! Il suffit de lire les déclarations des supporters parisiens et de l’entraineur de leur équipe pour comprendre à quel point cette rencontre était pavée de mauvaises intentions. On oublie vite le passé quand cela arrange et quand on perd un match qu’on voyait gagner facilement, il ne reste plus

aux suffisants qu’à déverser leurs biles.

Exemple l’entraîneur des parisiens

« On n’est pas parano. Ce n’est pas la faute de l’arbitre. On l’a mis dans une situation super dure parce qu’il a grandi au Pays basque et c’est difficile de ne pas se faire influencer, a ironisé Quesada en conférence de presse. Des mêlées avec 5-6 fautes sans mettre de carton jaune pour finalement siffler un plaqueur qui ne sort pas alors qu’il n’y a rien et que ça décide du résultat du match, c’est difficile. On lui a donné cette rencontre et il a fait du mieux qu’il a pu…»

Mais comment n’a t’il pas vu que marquer un essai en deux temps n’est pas valable, surtout quand la video montre bien le deuxième appui du joueur pour aller dans l’en but. Allez je vais m’arrêter là mais j’avais besoin de l’écrire.

c’est donc encore à guichets fermés et sous un Vino Griego de toute beauté que commence ce neuvième match de « nos petits ». la tache promise allait être dure mais on pouvait faire confiance au caractère de nos joueurs qui depuis le début de ce championnat se battent de toute leur force et montre un engagement permanent. La solidité défensive des joueurs à tous les postes a été la clef de réussite de ce match. Si la  mêlée n’a pas eu l’impact des rencontres précédentes, c’est qu’en face il y avait du lourd. Mais l’envie de monter vite avec la bonne agressivité ainsi qu’attaquer avec beaucoup de vitesse a semblé déranger les plans de jeu des parisiens

A qui la faute ? l’indiscipline ne paye pas et le manque de réussite n’arrange rien. et c’est normalement que « nos petits » vaillants et solidaires ont gagné ce match à la dernière minute faisant vaciller le public. Neuvième victoire, quel plaisir, le stade basque a chanté, Quesada lui a persiflé !

Bref une fois de plus, gloire à « nos petits » qui, malgré un match moyen, ont encore montré leur caractère et leur refus d’accepter la défaite.
comme le soulignait Gregory Patat, 

« On savait que cela allait être l’un des matchs les plus compliqués depuis le début de la saison.Le jeu du Stade Français met sous pression continuellement l’équipe adverse. Ils ont un jeu au pied climatique, une défense bien en place et ils gagnent les collisions. C’est très difficile de mettre à mal cette équipe »

Camille Lopez,

« C’est énorme parce que le match est tellement brouillon de notre part que de sortir avec une victoire, ça nous libère d’un poids. Aujourd’hui, nous ne pouvons pas être satisfaits de notre performance. On fait trop d’erreurs, notamment, sur nos sorties de camp, où nous sommes acculés chez nous et où nous n’arrivons pas à sortir proprement. On fait des fautes bêtes, je loupe deux pénaltouches, chacun fait un peu la sienne et au final, il n’y a rien de bon. Ça fait un petit moment qu’on est ric-rac. Attention à la réception de Castres. Il va falloir remettre le bleu de chauffe et être un peu plus efficaces samedi prochain. Sinon, il y aura une déconvenue »

On est sûr, nous les supporters que vous allez faire ce qu’il faut. Encore un week end avec le soleil dans le coeur. Merci les gars !

AUPA BAIONA

La suffisance ne s’est pas arrêtée à la fin du match et il semblerait qu’au sortir du terrain des incidents se soient déroulés entre supporters et Joueurs du stade Français. N’en sachant pas plus, j’attendrai donc pour en dire plus !

 

Un commentaire

  1. Quesada a un sourire narquois avant la transformation manquée de Parra, pensant sûrement qu’il ne peu rien arriver à un joueur d’une telle qualité. Et puis, « paf le chat » ! Il perd son sourire bêta pour prendre un masque de clown triste et aigri. Que dire de la pénalité de Camille après la sirène, elle le précipite dans la bêtise de s’en prendre verbalement à l’arbitre, à qui, nous aussi, nous pourrions reprocher certaines décisions. Alors Gonzalo, tu vas apprendre le mot « Humilité » et tu le copieras 100 fois pour qu’il entre bien dans ta petite tête. En même temps, tu pourrait revoir ton histoire des matchs entre ton équipe et la nôtre. Il y a des épisodes que nous, nous n’avons pas oublié, dont il y a deux ans, l’agression gratuite qui coûte à Ruru sa fin de saison + la saison suivante. Ah au fait, l’arbitre n’était pas le même, mais un certain M. Raynal qui n’a pas voulu voir ce qu’il aurait dû. Alors, stp Gonzalo, l’arbitrage, n’en parle plus, tu t’enfonces dans ta médiocrité !

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