Le rêve d’un jour n’est pas la vérité du lendemain !

Rêver fait du bien ! On dit souvent, « faites que le rêve dévore votre vie avant que la vie ne dévore votre rêve »! Le rêve permet de s’évader, de croire à l’impossible allant même jusqu’à pouvoir voler comme une hirondelle. Je dirai qu’il peut même nous amener à passer de l’irréel au réel.

En ce samedi 6 mai, qui n’a pas rêvé à une probable victoire de « nos petits » plus qu’à une possible victoire. Tout cela pour continuer le chemin incroyable vers un top 6 presque à portée de main.
La réalité a détruit ce rêve au delà de toute espérance.

La fatigue, des maladresses, un surrégime, un manque de densité, une usure physique ont fait que le résultat est sec et sans appel mais qui ne reflète en aucun cas tout ce qu’il s’est passé avant.

 » On a pris une gifle, disait Camille Lopez après la rencontre. Ce n’était pas notre vrai visage mais des branlées, on en prendra encore. Le top 6 n’était pas notre place véritable. Quand tu y es, forcément, tu espères y rester. Mais notre objectif, c’était le maintien et ça, c’est désormais acquis. Mais attention : la saison n’est pas encore terminée et samedi, il y a une écurie, certes malade mais que je connais bien, qui n’oubliera pas le match aller (les Bayonnais l’avaient emporté au stade Michelin) : les Clermontois viendront à Dauger avec l’intention de nous punir ».

Grégory Patat : « C’était certainement notre limite. Aujourd’hui, il y avait du caractère, de l’envie, mais sur des moments clés, il y a eu beaucoup d’approximations. Le haut niveau se joue sur des détails. Aujourd’hui, c’était un match de très haut niveau pour aller taper le Racing. Des moments clés nous ont échappé. Ils se sont nourris de ballons de contre-attaque. C’est notre réalité du moment. Le score est pour moi anecdotique parce qu’on surjoue, on fait des choses qu’on ne fait pas d’habitude. Ils ont eu l’opportunité de nous mettre la fessé, ils nous ont mis la fessée. Aujourd’hui la marche était trop haute pour nous. Mais si on avait dit au début de la saison qu’on jouerait une place dans les six à trois journées de la fin, on nous aurait pris pour des fous. On est tombé sur plus fort, sur un très bon Racing qui nous a respectés. »

Que dire de plus sur ce match ? personnellement rien car c’est un match à oublier qui nous met dans la réalité et cette réalité reste belle car promu, nous serons encore en top 14 l’année prochaine. Là ce n’est plus du rêve et bien d’autres équipes aimeraient être à notre place. alors j’ ai envie de dire 3 choses simplement :

1/ Un gros coup de chapeau aux supporters bayonnais présents qu’on a entendu chanter jusqu’à la fin du match avec un Vino Griego de belle facture pour remercier les joueurs de tout ce qu’ils ont fait précédemment depuis le début de ce championnat. Ils auraient peut être mérité aussi l’hommage de leurs joueurs !

2/ Soyons présents et actifs pour le dernier match à Jean Dauger d’abord pour leur redire tout le bien et notre satisfaction pour ce qu’ils ont montré, combat, engagement, collectif, vaillance. Que les chants s’élèvent aussi pour ceux qui vont partir vers d’autres cieux et ceux qui arrêtent pour une retraite de sportif. Un hommage particulier à notre capitaine courage, Jean Moribot dont la photo ci dessous est révélatrice de ce sportif de haut niveau! Merci Jeannot et bonne route.

3/ Confiance totale à notre Coach et Staff pour la suite de l’aventure. Les bases sont solides, il n’y a qu’à aller voir à Jean Dauger tout ce qui a été réalisé. une nouvelle équipe va se préparer avec des renforts de qualité, le travail va être important et nous serons toujours présents, fiers de notre équipe et de ce qu’elle dégage.

Prenons rendez vous ce samedi 13 pour un match encore à guichets fermés. que nos chants et nos oriflammes soient au de la de l’horizon bleu et blanc.
AUPA BAIONA

 

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